Des élu.e.s et syndiqué.e.s de la CGT Manpower
de la Région Sud sont actuellement à votre rencontre
Ils/elles se sont rendu.e.s dans différentes entreprises dans la région de Toulouse :
- Néolis
- Géodis
- Téléperformance
- La Poste
Et leur « tournée » continue car ils vont se rendre cette semaine à :
- Agen
- Langon
- Marmande
- Bordeaux
- etc.
Les salarié.e.s intérimaires, CDI Intérimaires et permanent.e.s rencontré.e.s leur ont fait remonter un certain nombre de problèmes et de disfonctionnement. Ces membres de la CGT Manpower ne manqueront pas d’intervenir auprès de la direction afin de faire rétablir leurs droits.
Pour celles et ceux qui nous ont indiqué ne pas souhaiter que leur nom apparaisse dans les échanges, la confidentialité sera, comme d’habitude respectée par la CGT Manpower.
Une partie des élu.e.s ont également rencontré la RRRH (Responsable Régionale des Ressources Humaines) de cette région Sud.
Leurs revendications et les solutions proposées :
- Salarié.e.s en CDI I déclaré.e.s inaptes par le médecin du travail suite un accident de travail
- propositions d’un suivi plus poussé
- des formations
- des reclassements
- des échanges avec les salarié.e.s concerné.e.s.
- Problématiques des congés payés imposés aux CDI I
- Mettre en place et assurer un suivi particulier en informant les salarié.e.s de leurs congés payés. En effet les messages envoyés par les agences sur la prise des congés payés sont parfois mal interprétés par les salarié.e.s en CDII
- Les CDII qui refusent une mission sont sanctionné.e.s par un courrier d’avertissement qui s’accompagne par un non-maintien de la GMMR (Garantie Minimale Mensuelle de Rémunération).
- Les élu.e.s CGT Manpower ont clairement soulevé l’analyse juridique qui consiste à dire que le/la salarié.e ne peut pas être considéré.e en absence injustifiée sans demander au/à la salarié.e de justifier cette absence. Le refus de mission ne peut pas être considéré comme suffisant pour qualifier une absence d’injustifiée. Pour que l’employeur puisse valider une absence injustifiée, il doit mettre en demeure le/la salarié.e dans l’attente d’une réponse.
Tous ces points ont été pris en compte par la RRRH qui a pris note de notre analyse, elle sera soumise au service juridique de Manpower.
Prochaine étape pour ces rencontres : Montpellier et Marseille.