Dans cette rubrique, vous pourrez retrouver les victoires collectives ou individuelles des élu.e.s de la CGT Manpower pour les salarié.e.s.
Elles sont classées de la plus ancienne à la plus récente.
Surtout n’hésitez pas à contacter un.e élu.e du 1er syndicat chez Manpower : la CGT Manpower
Toutefois, ne le/la sollicitez pas à la dernière minute
Prenez contact avec eux/elles dès les premières difficultés
Un dossier doit se préparer au plus tôt !
CHAQUE VICTOIRE EST IMPORTANTE
CHAQUE VICTOIRE EST A PARTAGER
Dans cette agence, la salariée intérimaire voyait son contrat de CDI I rompu à la fin de la période d’essai.
Mais avec l’aide de la CGT Manpower, il n’en est rien
Avec l’intervention de notre collègue Représentant du Personnel, Georges Dias, elle a obtenu son contrat en CDI I ! Tous les détails ci-dessous.
L’agence refuse de lui donner plus de renseignements.
Mais, grâce à la pression de la CGT Manpower, l’agence fini par évoquer un refus de l’entreprise utilisatrice de continuer le contrat. Après des mails échangés, et une réclamation sans réponse, la CGT Manpower décide de déclencher un droit d’alerte. La direction Manpower de la région sud refuse ce droit d’alerte car elle évoque qu’un problème lié à un contrat ne constitue pas un danger grave et imminent.
La direction et l’agence ont évoqué plusieurs motifs à cette interruption :
- le client ne souhaitait plus, soit disant, travailler avec la salariée intérimaire. Ce que la CGT Manpower a démenti et ensuite prouvé
- un avenant au contrat de travail, non signé par la salariée, à été présenté par l’agence. Vous imaginez la surprise de la salariée intérimaire…
Dans cette entreprise, les salarié.e.s embauché.e.s ont reçu des primes, par leur entreprise, pour avoir continué à travaillé durant la période de confinement.
Ces primes se montaient à :
- 250 € pour le mois de mars
- 500 € pour le mois d’avril
Mais les intérimaires n’avaient rien eu !
Pourtant dans le cadre de l’égalité de traitement ils auraient dû toucher ces primes.
C’est ainsi que, grâce à l’aide de la CGT Manpower, plusieurs intérimaires vont donc être régularisé.e.s pour chacun.e la somme de
750 € !
Sans l’intervention de notre collègue Représentante du Personnel, Mukadder Koc, ils/elles n’auraient rien eu !
Tous les détails ci-dessous.
Nous avons été contactés par des SI de l’agence de Lisieux – 14100.
Ces salariés intérimaires sont détachés dans l’entreprise Transports Roseliers.
Cette entreprise utilisatrice aurait mis en place un versement d’une prime à hauteur de 250 € pour le mois de mars 2020 et 500 € pour le mois de avril 2020, aux travailleurs mobilisés dans le cadre de la crise sanitaire liée à l’épidémie de COVID 19.
Or, aucun intérimaire détaché dans cette entreprise, ayant travaillé en mars 2020 n’a perçu quoi que ce soit au 12 avril 2020.
Ils ont déjà remonté l’information auprès de leur agence. Aucun retour de leur agence à ce jour.
Nous arrivons bientôt à la date de paie pour le mois de avril, toujours rien. Cependant, nous demandons l’égalité de traitement, soit le versement de ces mêmes primes pour le mois de mars et avril 2020 pour tous les salariés intérimaires détachés dans cette
entreprise.
Merci de nous informer du nombre de salariés intérimaires détachés dans cette entreprise n’ayant pas perçu ces primes.
Tous les détails ci-dessous.
Une prime défiscalisée sera attribuée aux salariés ayant travaillés dans la société TRANSPORTS
ROSELIERS durant les mois de mars et avril 2020.
Après des mails échangés, une réclamation sans réponse, et au vu des conséquences sur la santé de la salariée intérimaire, la CGT Manpower décide de déclencher un droit d’alerte.
Mais la Direction de la région sud Manpower refuse ce droit d’alerte car elle évoque un problème lié au contrat et donc pour elle cela ne constitue pas un danger grave et imminent pour la salariée concernée.
- le client ne souhaite plus travailler avec la salariée intérimaire, ce que la CGT Manpower a non seulement démentit, mais également prouvé ultérieurement
- un avenant au contrat de travail CDI I, non signé par elle, à été présenté à la salariée intérimaire. Or cette salariée n’avait jamais vu cet avenant auparavant. L’agence aurait-elle fait un « faux » ?
Bonsoir,
La CGT Manpower vous demande des explications sur les ruptures amiables, que vous faites aux intérimaires Manpower de l’entreprise utilisatrice SKF de Lons le Saunier.
La CGT vous demande pour la prochaine réunion CSE, le nombre exact de ruptures amiables de ce genre.
La CGT Manpower, vous indique que dès l’ouverture de l’agence de Lons le Saunier, nous irons vérifier les entrées et sorties.
La CGT Manpower vous indique que ce message est en copie à l’inspection du travail.
Cordialement.
Hainselin Denis délégué syndical CGT Manpower France
Bonsoir
Je me renseigne et vous réponds dans les meilleurs délais
Bonne soirée
Madame,
Je suis informée par les échanges ci-dessous d’une demande faite aux travailleurs temporaires mis à disposition de l’entreprise SKF de signer une rupture amiable du contrat de mission.
Je vous rappelle les dispositions de l’article L1251-26 du code du travail : L’entreprise de travail temporaire qui rompt le contrat de mission du salarié avant le terme prévu au contrat lui propose, sauf faute grave de ce dernier ou cas de force majeure, un nouveau contrat de mission prenant effet dans un délai maximum de trois jours ouvrables.
Le nouveau contrat de mission ne peut comporter de modifications d’un élément essentiel en matière de qualification professionnelle, de rémunération, d’horaire de travail et de temps de transport.
A défaut, ou si le nouveau contrat de mission est d’une durée inférieure à celle restant à courir du contrat précédent, l’entrepreneur de travail temporaire assure au salarié une rémunération équivalente à celle qu’il aurait perçue jusqu’au terme du contrat, y compris l’indemnité de fin de mission.
Lorsque la durée restant à courir du contrat de mission rompu est supérieure à quatre semaines, les obligations du présent article peuvent être satisfaites au moyen de trois contrats successifs au plus.
Sous réserve de l’appréciation souveraine des tribunaux, votre entreprise ne peut s’exonérer de ces obligations en imposant une rupture « amiable » aux travailleurs temporaires sans les informer de leurs droits ci-dessus.
Je vous remercie de me tenir informée des dispositions prises à l’égard de ces travailleurs et de la réponse adressée au délégué syndical CGT.
Cordialement,
Inspection du Travail
DIRECCTE Bourgogne Franche-Comté
Unité Départementale du Jura (39)
Dans cette entreprise, les salarié.e.s embauché.e.s perçoivent, en poste de nuit, et sous certaines conditions une prime.
Ayant été contactée par plusieurs salarié.e.s intérimaires en poste chez ce client, Mukadder Koc, une élu.e Représentante du Personnel de la Direction Régionale Ouest est intervenue auprès de la direction.
Suite à son intervention, les intérimaires ayant fait appel à elle, on pu depuis, être payé.e.s d’une prime de 139€ net !
Tous les détails ci-dessous.
Au sein de l’entreprise Bosch (14 Mondeville), lorsque le personnel titulaire a effectué 320 h en poste de nuit sur un année civile, l’entreprise leur accorde deux jours de congés.
Concernant les intérimaires, remplissant les mêmes conditions, ils ont droit à 14 h de rémunération en plus de leurs heures de travail.
Cette prime n’est pas unique, elle est renouvelée autant de fois que le même intérimaire fait 320 h de travail de nuit dans une année civile.
Cette prime est intitulée Prime 320 h.
Or à ma connaissance, Manpower ne verserait plus cette prime aux SI et CDI I remplissant les conditions dans l’entreprise utilisatrice Bosch et ce depuis plusieurs années.
- Pourquoi l’égalité des traitements n’a pas été respectée ???
- Combien de SI et/ou CDI I sont concernés ?
- Combien de SI et/ou CDI I n’ont pas perçu cette rémunération ???
Nous demandons la régularisation du paiement de cette prime aux SI et/ou CDI I ayant rempli les conditions d’attribution et ce conformément à l’article L 3245-1
Il s’avère que les conditions de versement de ladite prime n’étaient pas clairement définies, après échange avec le client sur la problématique évoquée dans cette réclamation, les intérimaires concernés par la prime de nuit percevront ladite prime avec paiement au 12 avril 2020.
Cette agence s’est permise de passer des congés payés sans solde à un salarié intérimaire, sans lui demander son avis bien sûr…
Tous les détails ci-dessous.
M. X, salarié intérimaire de cette agence, a été contacté, un peu avant l’été et il a été informé de la fermeture de l’entreprise utilisatrice où il était détaché par l’agence de La Roche sur Yon, pour une durée de 3 semaines durant l’été.
M. X a donc pris acte de cette fermeture et a bien indiqué à l’agence qu’il ne souhaitait pas prendre de congés (il n’en avait pas acquis beaucoup) et avait précisé qu’il ne serait pas payé pour cette période.
Or l’agence s’est permise, sans lui demander son avis, bien évidemment, de lui passer des congés par anticipation et sans solde.
La conséquence fut « automatique : M. X s’est retrouvé avec un trop perçu. Son agence n’a rien trouvé de mieux que de lui récupérer la totalité de la somme de congés payés perçu !!!
M. X s’est donc retrouvé le 10 octobre dernier avec une paye de 54€ !!!!
La CGT Manpower est intervenue, et au plus haut niveau de l’entreprise, puisqu’elle a contacté le Directeur de la Paye Intérimaire.
Une solution a été trouvée. Un versement à été fait à M. X et un avis d’échéance (remboursement en 5 fois) lui a été proposé.
Suite à notre intervention, la situation s’est « arrangée ». Mais M. X n’aurait JAMAIS dû être confronté à cela.
La CGT Manpower vous rappelle, et ce que vous soyez intérimaire ou CDI intérimaire, que :
- votre agence n’a pas le droit de vous imposer des congés payés.
- votre agence n’a pas le droit de récupérer un trop perçu dans sa totalité. Elle est OBLIGÉE de vous contacter et de vous proposer un échéancier.
Comme M. X si vous êtes confronté.e à ce type de problème, ou tout autre d’ailleurs, CONTACTEZ LA CGT MANPOWER !